Macron et le gouvernement ont choisi l’épreuve de force contre la quasi-totalité des salariés en employant des moyens pour contourner la démocratie syndicale et parlementaire. Désormais ils sont ultra minoritaires, reclus dans leurs palais, protégés par des forces de l’ordre qui ont ordre de réprimer Coûte que coûte les manifestations quitte à ce qu’un drame arrive. Ce pouvoir perd sa légitimité.
Des recours devant le conseil constitutionnel sont portés : pourtant une décision du conseil avalisant le projet ou le retoquant partiellement ne saurait avoir une légitimité du monde du travail
La proposition d’une pause dans le processus n’est pas, non plus, une alternative qui pourrait satisfaire les salariés à qui on veut voler 2 ans de vie hors du travail.
La seule option, C’est le retrait pur et simple de cette loi exigé par des millions de salariés en grève et/ou qui manifestent sans relâche et qui soutiennent les blocages : 70 % des Français sont pour la poursuite des blocages selon un sondage …du Figaro. C’est inédit et cela démontre encore une fois la détermination etle rejet de cette loi.
La CGT entend agir sur l’activité économique du pays pour faire plier le gouvernement mais aussi pour contrer le patronat qui est favorable à la réforme, qui profite des allègements de cotisations sociales et qui refuse l’augmentation significative des salaires dans un contexte d’inflation galopante. Faisons payer le patronat qui veut nous faire bosser toujours plus pour s’engraisser davantage !.

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