A l’appel de la CGT et d’autres organisations syndicales (FOCFDT-SUD), les salariés de CHRONOPOST se sont fortement mobilisés la
semaine du 25 au 29 janvier pour réclamer une juste équité dans le versement d’une prime.
Alors que l’année 2020, traversée par une crise sanitaire sans précédent, a vu l’explosion du e-commerce ce qui a considérablement augmenté la charge de travail ; que la peak period de cette fin d’année a explosé les chiffres des colis, la direction de CHRONOPOST n’entend pas récompenser tous les salariés, mais uniquement une catégorie de personnel en leur versant une prime de 1000 euros.
La direction voulait diviser les salariés, la CGT a rassemblé et c’est dans l’unité la plus large des organisations syndicales que la mobilisation a été décidée.
Après plusieurs courriers à la direction, demandant d’étendre cette prime à l’ensemble des salariés de CHRONOPOST, qui sont restés sans réponse, les salariés avec l’intersyndicale dont la CGT, ont décidé de se mettre en grève et des débrayages ont eu lieu sur ensablement des centres du pays la semaine du 25 au 29 janvier.
Alors que l’entreprise voudrait minimiser ce mouvement historique, on compte un nombre important de colis restés au sol pendant cette semaine.
A ce jour, la direction ne répond toujours pas et un nouvel appel unitaire est lancé pour le 9 février,

http://cgtptt.free.fr/ldj2021/lettre23/doc3.pdf

premier jour des NAO*
*Négociations Annuelles Obligatoires.