Le syndicalisme, c’est le rassemblement de tous les salariés, l’extrême droite c’est la division des salariés
En quelques mois ils ont voté :
- Contre l’augmentation du SMIC
- Contre l’indexation des salaires sur l’inflation
- Contre l’encadrement des salaires
- Contre le blocage des produits de première nécessité
- Contre la gratuité des premiers mètres cube d’eau
- Contre la revalorisation des retraites
- Contre le recrutement de sapeurs-pompiers, etc.
- Pour la fin des droits au chômage après abandon de poste
- Pour la fin des allocations chômage pour les employés refusant un CDI à la fin de leur CDD
- Pour réduire les droits au chômage des étrangers hors UE
- Pour interdire la présence d’étrangers au sein des IRP des entreprises
- Pour limiter le droit de vote des travailleurs précaires aux élections professionnelles
- Pour la hausse du plafond de défiscalisation
- Pour l’interdiction de l’écriture inclusive
- Pour l’exclusion des mangas du « pass culture »
Nous devons agir et convaincre nos syndiqués, les salariés et les retraités de la nocivité et de l’imposture que représente l’extrême droite.
Nous ne gagnerons pas ce combat en se contentant de stigmatiser et de jeter l’opprobre sur les personnes qui ont fait le choix de voter pour l’extrême droite ou même de s’abstenir. Il nous faut savoir distinguer les fachos des fâchés. Combattre les fachos et convaincre les fâchés. En préalable, Il faut prendre le temps d’écouter les raisons qui les ont amenées à faire ce choix et ensuite être en capacité d’argumenter !
La CGT reste fidèle à ses valeurs fondamentales : « la défense des salariés, de leurs droits, de leurs intérêts professionnels, moraux et matériels, sociaux et économiques ». Cette volonté ne peut s’appuyer que sur une solidarité d’intérêts des salariés : hommes, femmes, actifs, privés d’emploi, sans discrimination de quelque sorte que ce soit. Dans chaque service ou entreprise, luttons pour de meilleurs salaires, des recrutements massifs, et n’acceptons aucune discrimination.