Rapidement après la signature de l’accord OTT en septembre 2021 et sa mise en place début 2022, on a pu sentir un changement dans l’attitude de la direction de la DSEM. En gros, d’un apparent dialogue social constructif, nous sommes passé à une certaine forme d’autoritarisme et d’interprétation du texte signé. Certes, la partie organisation du travail au niveau des régimes de travail s’est bien mise en place (Encore heureux !). En revanche, d’autres sujets nous paraissent plus que problématiques.
En matière de promotions, l’ambitieux projet vendu par la direction devant embarquer de la classe II au groupe A se fait toujours attendre. Nombre de places de places insuffisant à la 1ère série de RAP, problèmes de validation des UV, échec des candidatures au Groupe A : ça part mal ! Des éléments contenus dans l’accord sont remis en cause de manière insidieuses.
Est-ce que l’état d’esprit qui régnait dans les agences et les centres d’appels s’est amélioré ? Non, au contraire ! Le nombre d’alertes de risques psychosociaux n’a jamais été aussi élevé. En centres d’appels, de nombreux collègues veulent quitter le métier.
Pour la CGT, le compte n’y est pas. Nous n’avons pas signé cet accord pour entériner un recul social. Nous allons demander la tenue d’une commission de suivi afin de contraindre la DSEM à tenir ses engagements…

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