Souvenons-nous des applaudissements pour les soignants, souvenonsnous des remerciements pour les travailleuses et travailleurs indispensables au fonctionnement du pays dont les postières et les postiers, souvenons-nous des belles promesses de Macron et du monde « d’après » qui retiendrait toutes les leçons de cette épidémie. Aujourd’hui, rien pour ceux qui bossent mais des milliards pour ceux qui ont montré leur inutilité sociale pendant la crise. Alors que Macron déclarait avant la crise « il n’y a pas d’argent magique », aujourd’hui, les milliards pleuvent pour les patrons, les actionnaires du Cac 40 et les grands groupes…
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